À la Roche-sur-Yon, Maryline, 70 ans, fait face à une situation critique. Le 11 juin, elle devra quitter son logement malgré ses nombreuses démarches auprès des bailleurs sociaux. Sa quête pour un toit stable met en lumière les difficultés des personnes vulnérables dans le contexte actuel de crise du logement en Vendée. Ils sont à peu près 4000 à attendre un logement dans l'agglo yonnaise. En Vendée 75 % sont éligibles aux logements sociaux.
Le 11 juin, Maryline devra quitter son logement. Elle a besoin d'un soutien réel et d'une solution viable pour sortir de cette situation précaire.
La proposition de Vendée-logement
« Hier, j’ai eu Vendée-Logement, c'est le premier bailleur social à qui j'ai (comme j'étais dans le secteur là-bas, sur la Généraudière) transmis l'entier dossier. »
Vendée-Logement propose un logement à 442 euros. « Juste à côté. » Un T2 au troisième étage avec ascenseur. « Mais je ne peux pas partir sur un loyer à 442 euros. J'ai droit à l'APL, mais seulement 82 euros. Ce logement serait disponible en août. » « En attendant, je ne sais même pas où je vais mettre mes affaires. »
Depuis la parution des articles dans les médias « on a eu des messages de solidarité, mais ça ne solutionne pas le problème. C'est bien, mais ce n'est pas suffisant pour éviter de me retrouver sur le trottoir. »
Une aide nécessaire et urgente
Son dossier est prioritaire pour les bailleurs sociaux mais aucune solution ne se concrétise. Il y a eu des confusions et des changements de personnes responsables du dossier, « ce qui complique encore plus la situation. Malgré mes demandes répétées et un suivi constant, je me retrouve toujours sans logement stable. »
Pour soutenir Marylène vous pouvez nous contacter sur le site https://www.mavillesolidaire.fr/contact.html et nous transmettrons à Maryline.